Publié le 19 octobre 2018
Le photographe palestinien Mahmoud Hams de l’AFP remporte le prix Bayeux en France alors qu’il utilise honteusement un pauvre handicapé dans des mises en scènes comme vous pouvez le constater.
Et encore je n’ai pas réussi à retrouver toutes les photos avec le même personnage car il y en a d’autres !
Autre photo très spontanée n’est-ce pas ? On se demande ce que ce garçon vise car on ne voit pas d’Israéliens, le drapeau tout propre se trouve là par hasard…
Cette mise en scène est digne d’un tableau italien de la Renaissance (Caravage)
C’était lui aussi l’auteur de cette photo très christique de la fillette soi-disant tuée par Israël alors qu’elle était morte de maladie, lien et que le Hamas lui-même a fini par le reconnaître sans qu’il y ait de démenti par l’AFP !
Si vous voulez comprendre comment travaillent les photographes palestiniens à Gaza où toute l’information est contrôlée par l’organisation terroriste Hamas, filiale des Frères musulmans qui a institué un régime digne des Talibans, je vous invite à lire cet ancien article qui reflète une réalité toujours d’actualité.
Fayad Abu Shamala, correspondant de la BBC à Gaza depuis 10 ans, qui a pris la parole dans un meeting du Hamas, à Gaza : “Nous, les journalistes et les organes d’information, nous menons cette campagne au coude à coude avec le Peuple palestinien”.
Seaman déclare que les Palestiniens qui travaillent dans l’information suivent un cours sur la manipulation des médias à l’université de Bir Zeit et sur le contrôle de la diffusion d’informations. Il explique: “Les Palestiniens font comprendre aux journalistes étrangers : si vous ne travaillez pas pour notre cause, nous réduirons nos contacts avec vous, vous n’aurez pas accès aux sources d’information et vous n’aurez pas d’interviews”.
Il y a aussi une cause économique à cela. Les photographes palestiniens reçoivent des agences étrangères 300 dollars pour chaque bonne photo ; c’est pourquoi ils créent délibérément des provocations avec les soldats. Ils ont rabaissé au plus bas niveau le métier de photographe. Seaman affirme encore : “Aujourd’hui, nous savons que l’affaire Mohamed al-Dura a été montée d’avance par l’Autorité Palestinienne, en accord avec les photographes palestiniens qui travaillent pour les agences étrangères, Source.
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